info
Conférence : Louise Michel, une femme d’exception.
Conférence : Louise Michel, une femme d’exception. Par Édith Lombardi
Organisée par Solidarité Femmes Besançon
Louise Michel fut une fillette sensible, curieuse, aimante ; elle devint une femme d'exception, qui mérite d'être mieux connue.
Poète, écrivain, institutrice passionnée, combattante infatigable, elle fut, aux côtés de Victor Hugo, de Gustave Courbet, une des hautes figures du 19ème siècle, luttant sa vie entière pour une république sociale.
Partant de son enfance à Vroncourt, en Haute-Marne, jusqu'à à sa déportation en Nouvelle-Calédonie, après la Commune en1871, nous allons pas à pas faire sa connaissance.
Cette conférence sera accompagnée par Elisabeth Kollar-Becker (chant) et Willy Malaroda (bajan), qui nous donneront à entendre un des plus beaux chants de la Commune.
Cette conférence aura lieu le 7 mars, à 18h, à l'amphi Cloché, au 32, rue Mégevand, à la fac de lettres.
Entrée libre.
"Sans l'autorité d'un seul, il y aurait la lumière, il y aurait la vérité, il y aurait la justice. L'autorité d'un seul, c'est un crime."
Louise Michel - Extrait d'une Plaidoirie - 1883
"Ce n'est pas une miette de pain, c'est la moisson du monde entier qu'il faut à la race humaine, sans exploiteur et sans exploité."
"La révolution sera la floraison de l'humanité comme l'amour est la floraison du cœur."
Louise Michel - Mémoires - 1886
"Simple, forte, aimant l'art et l'idéal, brave et libre aussi, la femme de demain ne voudra ni dominer, ni être dominée."
Louise Michel
Conférence : Louise Michel, une femme d’exception.
Conférence : Louise Michel, une femme d’exception. Par Édith Lombardi
Organisée par Solidarité Femmes Besançon
Louise Michel fut une fillette sensible, curieuse, aimante ; elle devint une femme d'exception, qui mérite d'être mieux connue.
Poète, écrivain, institutrice passionnée, combattante infatigable, elle fut, aux côtés de Victor Hugo, de Gustave Courbet, une des hautes figures du 19ème siècle, luttant sa vie entière pour une république sociale.
Partant de son enfance à Vroncourt, en Haute-Marne, jusqu'à à sa déportation en Nouvelle-Calédonie, après la Commune en1871, nous allons pas à pas faire sa connaissance.
Cette conférence sera accompagnée par Elisabeth Kollar-Becker (chant) et Willy Malaroda (bajan), qui nous donneront à entendre un des plus beaux chants de la Commune.
Cette conférence aura lieu le 7 mars, à 18h, à l'amphi Cloché, au 32, rue Mégevand, à la fac de lettres.
Entrée libre.
Resto trot
Le prochain resto-trottoir aura lieu le week-end prochain : dimanche 24
février à partir de 12h30 place Marulaz à Besançon s'il fait beau, ou
sous les arcades du quai Vauban si la météo n'est pas géniale.
Comme d'habitude si vous voulez participer à l'installation, rendez vous
à partir de 11h30 devant la librairie l'Autodidacte.
(pour participer à la cuisine, on est toujours preneur-euse de
main-d'oeuvre, c'est à partir de 10h le samedi à l'atelier rue de Dole)
l'affiche de ce mois-ci a pour thème les pesticides. Et si vous êtes
contre l'utilisation de ces produits qui empoisonne les sols, tue les
insectes et détruit les conditions biologiques nécessaires à la survie
de nombreux animaux; il est possible de signer l'appel pour
l'interdiction de tous les pesticides de synthèse lancé par le collectif
«nous voulons des coquelicots»
https://nousvoulonsdescoquelicots.org/l-appel/
Pour plus d'info :
http://restotrottoir.blogspot.com/2019/02/prochain-resto-trottoir.html
Atelier "Batir aussi"
* CE MERCREDI 20 FÉVRIER 2019 à partir de 19H,
AU RESTAURANT VÉGÉTAL CHEZ GLORIA, 3 RUE RIVOTTE, À BESANÇON ;
Lors de cette dernière séance publique de "labo-fiction", les ateliers de l'Antémonde rendront contagieuse leur passion pour la fabrication de fictions politiques critiques et enthousiastes. LES ATELIERS DURENT 2H30, DISCUSSIONS COMPRISES ET COMMENCERONT À 20H PRÉCISES.
Vous trouverez ci-dessous quelques informations supplémentaires sur les Ateliers de l'Antémonde et le Livre Bâtir aussi…
à bientôt,
L'infokiosque
Les paysans bio avec les gilets jaunes?
les paysans bio avec les gilets jaunes ?
Injustice sociale, injustice fiscale et urgence climatique même combat, mêmes victimes et mêmes responsables !
Pour les paysans bio, il est également temps de s’organiser, de se mobiliser ensemble, de repenser dans sa totalité ce système économique et politique conçu par et pour les riches et les puissants.
Par nos pratiques vertueuses et notre respect de l’environnement et de la biodiversité, nous apportons des solutions à l’urgence climatique.
Par les valeurs que l’agriculture paysanne bio véhicule, nous apportons également des solutions face à l’injustice sociale, à la destruction du vivant, et à la réduction en "esclavage" de nos vies...
Ne vivons plus comme des esclaves !
Solution écologique et émancipatrice, l’agriculture paysanne bio que nous portons peut amener à plus d’autonomie alimentaire, à la relocalisation des productions et des ventes, à la création du lien partout à l’échelle locale et à la généralisation de l’économie circulaire.
Cette démarche est plébiscitée, nous le constatons chaque jour !
Pourtant les paysans bio subissent quotidiennement l’ensemble des maux que mettent en avant les gilets jaunes :
*"injustice fiscale" et retard de paiement :
Plébiscités, les paysans bio n’ont pourtant aucun avantage qui permettrait de produire partout et à échelle humaine de l’alimentation bio et locale ni de mettre en valeur les aménités positives de l’agriculture paysanne bio.
Les aides en faveur de l’agriculture biologiques (dont nous sommes surement moins dépendant qu’en conventionnel) ont entre deux et trois ans de retard ! Situation intenable pour nombre d’entre nous sans que jamais le vent de la révolte soit suffisant pour balayer l’absurdité et de ces retards et du système permettant ces aides !
Il est temps de tout mettre à plat, dans tout les domaines et aussi en agriculture biologique. Repenser les choses pour être résilients à l’échelle locale, soutenus et autonomes !
Les produits de qualité que nous proposons devraient pouvoir être accessibles à toutes et tous et devraient nous permettent , nous paysans bio de vivre dignement. Ce n’est pas le cas, ni pour nous, ni pour l’accessibilité des produits ! Nous marchons sur la tête ! Faisons un pas de côté et reconstruisons ensemble !
*’injustice sociale". Nourrir, même bien, vaut moins que spéculer (comme vous tous !).. ! De la production à la "consommation", des moyens de productions au parasitage des grosses sociétés, de l’aliénation par le travail à l’implication locale, nous devons tout remettre à plat !
* "Urgence climatique". Nous sommes certainement la dernière génération à pouvoir faire quelque chose, il nous reste peu de temps et en tant que paysans bio nous sommes des acteurs du changement. Pourtant nous subissons en premier lieu les conséquence du dérèglement climatique ! Nous constatons qu’une transition douce n’est pas suffisante : c’est maintenant que tout se joue radicalement tant pour ce qui qui nous entourent que pour celles et ceux qui nous entourent !
Nous retrouvons les même victimes à savoir les plus faibles, les plus démunies, les plus précaires. Ceux qui, noyés dans le quotidien des obligations et des urgences ne prennent plus le temps ou le droit de prendre la parole ?
Nous retrouvons également les mêmes responsables : grandes entreprises, milliardaires, puissants, système basé sur la croissance et le profit...
Ceux là même qui imposent des taxes et des normes aux plus défavorisés sans se les imposer à eux mêmes et sans mettre en place des alternatives viables et souhaitables.
Il ont fait un choix, celui de maintenir leur microcosme et leur pouvoir au détriment de la planète et de ses habitants.
Faisons-le nôtre : renversons la table et repensons tout, partout où il nous semblera bon de le faire ! Ils ne sont grands que parce-que nous sommes à genoux !
Voilà pourquoi en tant que paysans bio nous pensons qu’il faut rejoindre ce mouvement. Il représente peut-être la seule occasion que nous ayons de reprendre en main nos vies, nos fins de mois et notre fin du monde !"
Une interview de Raoul Vaneigem
Procès amiante CHRU Besançon
Procès amiante CHRU Besançon
La cour d’appel de Besançon vient de confirmer la condamnation du CHRU pour mise en danger délibéré d’autrui.
Lors de la première instance, la partie civile du CHS-CT n’avait pas été reconnue, la cour d’appel vient de considérer comme recevable la partie civile du CHS-CT ! Ce qui est très important !! ainsi que la partie civile de l’ANDEVA !*
De plus, la cour d’appel vient d’accepter de condamner également la Direction pour l’exposition de 3 informaticiens, fait pour lequel la direction avait été relaxée en première instance.
C’est une grande victoire pour les agents, pour les syndicats et les avocat(e)s qui ont œuvré à ce dossier.
Il faut faire circuler cette information qui fera jurisprudence, même si on attend la décision de la Direction en ce qui concerne la cassation.
* Association Nationale de Défense des Victimes de l'Amiante