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Site d'informations anarchistes de Besançon et d'ailleurs.

XXème festival des littératures policières, noires et sociales

fédération anarchiste25 #info

XXème festival des littératures policières, noires et sociales.

 

Détails

 
20 ans, date symbolique, un cinquième de centenaire. Les 20 ans de la chanson de Ferré, les deux fois 10 ans de celle de Souchon. Vingt ans à inviter à peu prés 350 auteurs, qui ont tous eu le plaisir de venir à Besançon, et d’en tester l’accueil. Ils n’ont jamais été déçus, même si ils se
sont pris quelques raclées à la pétanque du dimanche matin ! Mais ils ont pu constater qu’il y avait un public amoureux du Roman Noir, bien serré, des fins amateurs et connaisseurs. Des bien Serial, quoi ! Et surtout une belle équipe d’ami(e)s qui ont fait et font ce salon depuis 20 ans, l’âge qu’ils ont dans le cœur et dans la tête , et comme l’écrivait Jean-Bernard Pouy : « ...le polar, c’est toute l’année, et partout. Dans... nos régions.
C’est l’occasion d’aller dans des bleds où l’on aurait jamais foutu les pieds, en revenir, la besace bourrée de spécialités locales et de cartes postales immémoriales. Sur place, on peut embrasser son auteur chéri (sur les joues). Lui payer un coup tranquille. Et même se le faire payer, si affinités.
On peut aussi lui confier, sans qu’il fasse la gueule, que, dans son dernier, il ne s’est pas trop foulé. On peut prendre la bête en photo au moment où il se lâche vraiment. Mais là, faire gaffe. Maintenant il y a fesse-bouc… »

Programme :

-> 30 mars Rencontre avec Jean-Bernard Pouy médiathèque
Pierre Bayle 18h30.
-> 13 et 14 avril Rencontre-atelier avec Tanxxx et Affiche Moilkan
Les Passagers du Zinc Rue de Vignier

* Samedi 15 avril : Salle Proudhon ouverture 14H00
Rencontre dédicace
15H00 Rencontre avec Jérôme Leroy animée par Martial Cavatz
16H30 Rencontre avec Jean-Bernard Pouy animée par Guillaume Tissot
17H30 Rencontre avec Ian Manook animée par Corinne Naidet (Asso 813) et Thierry Loew

* Dimanche 16 avril Place Granvelle 9H30 Pétanque
Ouverture festival 13H30
15H00 Rencontre avec Marin Ledun animée par Corinne Naidet et Thierry Loew
16H00 Rencontre avec Romain Slocombe animée par Fabrice Riceputi

Auteurs présents :

Bard Patrick, Delzongle Sonja, Dumal Alexandre, Ledun Marin,
Leroy Jérôme, Manook Ian, Medhi Cloé, Mention Michael, Oppel Jean-Hugues, Pichon Fabrice, Pouy Jean-Bernard, Roux Christian, Slocombe Romain, Tanxxx, Thiery Danielle, Vindy Marie

Avec la collaboration de : Librairie Forum, Médiathèque Pierre Bayle, Association Chifoumi, Association 813, ISBA, Affiche Moilkan
Et le soutien de Délégation Culture et Patrimoine et Délégation Vie
Associative de la Ville de Besançon
Région Bourgogne-Franche-Comté
Conseil Départemental du Doubs
France Bleu Besançon
XXème festival des littératures policières, noires et sociales

Agir n’est pas voter

fédération anarchiste25 #social

                        ★ Agir n'est pas voter

 

L’anarchie […] est l’idéal qui pourrait même ne jamais se réaliser, de même qu’on n’atteint jamais la ligne de l’horizon qui s’éloigne au fur et à mesure qu’on avance vers elle, l’anarchisme est une méthode de vie et de lutte et doit être pratiqué aujourd’hui et toujours, par les anarchistes, dans la limite des possibilités qui varient selon les temps et les circonstances.
Il ne s’agit pas de faire l’anarchie aujourd’hui, demain, ou dans dix siècles, mais d’avancer vers l’anarchie aujourd’hui, demain, toujours.
Si pour vaincre il faut pendre sur les places publiques, je préfère être vaincu.

Errico Malatesta

Depuis des décennies, que disons nous, des siècles, la classe politique nous demande de la légitimer par le vote. Il faut voter, encore voter, toujours voter. Cela serait, selon toute vraisemblance, la seule façon de s’exprimer et d’agir.

Nous autres, anarchistes, avons au cœur de mettre le pouvoir non seulement à mal, mais surtout de côté. Nous savons que tout pouvoir corrompt, et que, comme le disait Louise Michel, est maudit. Maudit, car même avec les meilleures intentions, nous avons vu les dérives rapides d’autocratie qui émergent dès qu’une personne persuadée d’être dans le vrai abandonne le collectif au profit de « son intuition ». C’est pour cela que nous prônons le consensus, des mandats courts et impératifs (donc contrôlables en permanence) et le refus de parvenir (1), qui ne peuvent qu’éviter l’incarnation magique de la solution dans une sauveuse, un sauveur suprême, mais bien remettre dans les mains de toutes et tous nos destins.

Pourtant la sociale démocratie actuelle propose, elle, l’inverse. C’est le jeu de pressions toujours plus fortes pour le vote (instruction civique à l’école, télévision, famille, amis, etc…). Nous avions déjà les élections traditionnelles, mais comme cela ne suffisait pas, voilà l’invention et la mise en place des primaires !

Nous autres libertaires savons que le vote est le choix de l’abdication de liberté et de pouvoir dans et sur nos vies . Les votants les délèguent à une instance « supérieure » à nous et font aussi le choix du plus petit dénominateur commun. Autrement dit, le pire du moins pire en permanence.

Quand les primaires arrivent, par exemple, une série de candidat est proposée. Rarement les sympathisant.e.s qui vont voter sont d’accord à 100% avec le candidat qu’ils et elles soutiendront (plus rarement ce sont des candidates, machisme oblige) . Disons qu’ils le sont à 80 % et à moins de 60% avec les autres, voire moins.
Le premier tour des primaires se passe, et le candidat qu’ils / elles soutenaient, lui, ne passe pas. Ils / elles se retrouvent donc avec deux candidats à départager, avec qui, ils / elles ne partagent pas vraiment de convictions fortes.
Ils / elles le feront quand même en choisissant le « moins pire » et parfois (souvent ) en suivant la consigne de vote de leur premier choix, de leur leader.
Et ainsi de suite : une fois ce candidat dans l’arène politique, après le premier tour, rebelote … Etc … Quelque soit l’élection, cette logique se répète.

C’est ainsi que nous nous retrouvons gouverné, du fait des votantes et votants, par des personnes qui sont déjà d’une classe éloignée des nôtres et qui ne portent que quelques miettes avec lesquelles les électrices et électeurs sont d’accord. C’est ce fameux « plus petit dénominateur commun ».

Mais alors, que proposent les anarchistes ?

Pour notre groupe (car nous n’avons clairement pas la science infuse), il faut déjà élargir les possibles. Les solutions ne sortent que mieux de milliers de têtes, plutôt que de quelques unes.

Qui mieux que celles et ceux qui font pousser les légumes peuvent nous dire comment améliorer leurs conditions de travail ? Et que celles et et ceux qui font le ménage ? Et que celles et ceux qui font tourner les usines ? Etc… Dans le même temps, qui mieux que celles et ceux qui habitent un espace peuvent savoir ce qu’il faudrait en faire ? Qui mieux que celles et ceux qui ont besoin de manger peuvent définir leurs besoins ? Etc…

Vous l’aurez compris : nous sommes un peu tout cela, travailleuses et travailleurs, habitantes et habitants, usagers et usagères, consommateurs et consommatrices. Aucun aspect de la vie ne nous est extérieur. Tout se croise dans nos vies. A nous de construire un commun qui n’opprime personne, et libère tout le monde.

Alors, oui, pour le groupe Graine d’Anar, tout est politique, de l’intime au commun. Et tout peut et doit se discuter, s’affirmer, s’affiner. Assemblées populaires, agoras, causeries, nous ne savons quelles formes sont les meilleures pour l’heure. Mais ce qui est certain, c’est que le premier pas de nos libertés, c’est le dialogue entre nous sans passer par les campagnes électorales qui cherchent à créer des antagonismes pour permettre à quelques nantis de le rester. Et n’abdiquons jamais notre esprit critique face à l’information et les divertissements, en gardant en tête nos buts et nos aspirations.

Nous devons parler de comment reprendre les moyens de production au capital, pour les collectiviser. Trouver les moyens d’assurer à toutes et tous l’accès à la santé et aux besoins de base. Passer du travail à l’activité. Libérer nos vies des servitudes. Personne n’a la solution seule. Personne ne sait tout sur tout. Mais ensemble, nous sommes inventifs.

Et ne nous accrochons pas à des lignes, autrement appelées frontières, décidées, dessinées, par celles et ceux qui nous privent de nos libertés. Elles ne sont là que pour asseoir les pays, les patries. Autant d’illusions qui n’ont jamais servies qu’a nous envoyer mourir au front pour leurs grandeur, le pouvoir des nantis et des financiers. En clair soyons internationalistes !

Et l’anarchie n’étant pas, selon nous, qu’un mode de gestion de nos vies, tous ces changements ne peuvent se faire qu’en refusant toute position oppressive. Cela recoupe des formes tel que le racisme, la réassignation, le sexisme et tout autre hiérarchisation des humain.e.s, ainsi que le refus de toute élite éclairée.

Des utopies tout cela ? Et pourtant, dans l’histoire, pour exemple, la sécurité sociale est née comme cela, les congés payés aussi, la baisse du temps de travail aussi. L’invention est du côté des confrontations d’idées et des luttes.

Des expériences anarchistes ont eu lieu : les Communes (2), la révolution mexicaine (3), la Makhnovchtchina (4), la révolution espagnole (5). N’oublions pas que ces mouvements ont tous été réprimés dans le sang par des pouvoirs trop heureux de sauver les privilèges de quelques uns. Ces pouvoirs issus des rangs républicains, religieux ou soviétiques, tous soit disant libérateurs des peuples.

Mais aussi des exemples sans doutes moins impressionnants mais tout autant utiles : coopératives d’entraides, dispensaires gratuits et autogérés, AMAP, ZAD, échange de services de façon gratuite et horizontale, etc… L’anarchie vit toujours aujourd’hui, plus ou moins fortement.

Alors oui, nous pourrions faire un appel à la révolution qui nous ferait du bien. Mais honnêtement nous préférons vous appeler à en parler, à se convaincre collectivement qu’un autre monde est possible et à s’organiser. Semons des graines d’anarchie et regardons croitre notre liberté.

Groupe Graine d’anar de la Fédération Anarchiste – Lyon

(1) Refus de parvenir : Refus de parvenir – pas de « réussir » : l’expression date d’il y a un siècle, mais plus que jamais, à travers la critique des sociétés du paraître, de l’argent, cette posture reprend tout son sens : refus des privilèges, des distinctions, de la promotion individuelle, qu’elle soit syndicale, politique ou universitaire.

(2) Paris , Lyon, Saint Étienne en 1871, lors des révoltes populaires

(3) Flores Magon et les zapatistes entre 1910 et 1920 

(4) Ukraine 1918 à 1921

(5) Espagne 1936-1937

Texte du groupe issu de Monde Libertaire 1787

Abonnez vous au Monde Libertaire

 

Agir n’est pas voter
Agir n’est pas voterAgir n’est pas voter

COMITÉ DE SOUTIEN À FÉLIX CROFT

fédération anarchiste25 #appel

COMITÉ DE SOUTIEN À FÉLIX CROFT
www.soutienfelixcroft.com

L'humanitaire Félix Croft ne doit pas être condamné par la justice
italienne

Le jeudi 16 mars 2017, le procureur du tribunal d'Imperia, en Italie, a
requis 40 mois de prison et 50 000 euros d'amende contre Félix Croft, le
bénévole humanitaire azuréen, pour avoir transporté le 22 juillet 2016
une famille soudanaise.
Une  peine pour  le  moins  sévère,  au  regard  des  faits.  La  
comparaison  avec  les  poursuites  de  l'autre côté de la frontière  
s'imposait,  et  la  défense  n'a  pas  manqué de  souligner  la  
disproportion des sanctions  requises  :  alors  même  que  le  Tribunal  de  
première  instance  de  Nice  n'avait  pas  retenu  la clause  
humanitaire,  Cédric  Herrou  a  été  condamné  à 3000  euros  d'amende
avec  sursis  pour  avoir favorisé l'entrée sur le territoire français
d'environ 200 migrants privés de documents, uniquement au
motif qu'il n'avait pas pu fournir la preuve des risques encourus par
les individus aidés.

Or,  dans  le  cas  de  Félix  Croft,  on  ne  peut  qu'être  frappé  
par  l'évidence  de  la  dangerosité
de la situation   des   personnes   aidées.   Une   famille   Soudanaise   ayant   fui   l'un   des   conflits   les   plus sanguinaires  du  siècle  en  Afrique  (300.000  morts  depuis  2003),  
une femme  enceinte  et  un  enfant brûlé  sur  tout  le  flanc  droit,  
hébergée  temporairement  par  une  association  italienne.

À  la fin  de son hébergement, cette famille allait se trouver dans la
même situation que les centaines de réfugiés qui vivent  dans  la  rue  
à Vintimille, avec l’angoisse de surcroît  de  se  voir  reconduite  au  
Soudan  par l'Italie dans le cadre des accords secrets entre ces deux
états, dénoncés par la presse, et déjà appliqués dans d'autres cas.
Ainsi contraints, la plupart tentent le franchissement de la frontière
par des moyens extrêmement dangereux comme en témoignent les 9 drames
qui ont eu lieu sur les voies d'autoroute et ferroviaires depuis 2016.

Tous les membres de cette famille se trouvaient être de fait des
réfugiés, et avaient donc pour cette raison  un  droit  de  résidence  
et  d'entrée  sur  le  territoire  français,  comme  l'a  argumenté  
l'avocate  de Félix  Croft.
L'accusé ne  faisait  alors  rien  d'autre  qu'aider  cette  famille  à
bénéficier  des  conditions d'accueil nécessaires répondant à sa
situation.

Contrainte par la politique  globale des États européens, l'Italie se
trouve  submergée par l'afflux des personnes  déplacées  provenant  des  
zones  de  conflit  sur  la  planète.  N'ayant  pas  les  moyens
logistiques  de  faire  ce  travail  de  police  pour  l'Europe  
entière,  il  est  évident  que  les  conditions d'accueil  ne  peuvent  
être  qu'alarmantes,  comme  les  ONG,  Médecins  sans  frontière  et  
Amnesty International  le  constatent.  10.000  demandeurs  d'asile  
sous  protection  internationale  sont  contraints d'y vivre en dehors
du système d'accueil, dans des conditions d'extrême précarité et de
marginalité.

En agissant comme il l'a fait, Félix Croft se trouvait dans les cas
décrits par la législation européenne qui stipule que les personnes
aidant des réfugiés à entrer ou passer par le territoire d'un pays
membre ne subiront aucune sanction si elles agissent pour des motifs
humanitaires.
L'énormité des peines requises est scandaleuse !
Nous  alertons  les  citoyens  sur la  politique  migratoire  
européenne  qui  condamne  des  humanitaires palliant les carences
d'accueil des réfugiés dans les pays membres, alors que nombre d'États,
dont la France, enfreignent systématiquement les droits des personnes
qui arrivent sur leur territoire.

Nous lançons un appel à la solidarité avec Félix Croft. Il ne doit pas
être condamné.

COMITE DE SOUTIEN A FELIX CROFT

POUR SIGNER, Merci d'envoyer un mail au plus tard le mercredi 12 avril
à: soutienfelixcroft@gmail.com

Ni Dieu, ni maître, une histoire de l'anarchisme

fédération anarchiste25 #notre histoire

Ni Dieu, ni maître, une histoire de l'anarchisme

enfin sur Arte Mardi 11 avril - 20h50

 

Premier volet, La volupté de la destruction, 1840-1914,

Deuxième volet, La mémoire des vaincus, 1911-1945

Le projet initial était de 3 volets de 1840, date de la publication de Qu’est-ce que la propriété ?, de P.J. Proudhon à 2001 où selon le réalisateur T. Ramonet les manifs contre le G8 de Gênes ont marqué les jeunes générations la réémergence d’un mouvement antiautoritaire. Pour des raisons officiellement budgétaire le troisième volet est arrêté.

Une fois de plus l’histoire de l’anarchisme s’arrête sur des défaites et un gout de « c’était une bonne idée mais le contexte historique a changé etc… » Le troisième volet reste à faire

Synopsis

De la Commune de Paris, en 1871, à la grève générale de 1906, de l'émergence des Bourses du travail à celle des grandes organisations syndicales, des premiers votes féminins aux communautés de vie alternative, de l'éducation populaire à la mise en place d'écoles libertaires, le mouvement anarchiste suscite des expériences révolutionnaires inédites et se révèle l'un des principaux promoteurs des grandes avancées sociales. De Ravachol à Bonnot, de l'assassinat de Sadi Carnot (1894) à celui d'Umberto Ier d'Italie (1900), ce film rappelle que la «propagande par le fait» que choisissent certains anarchistes inaugure un terrorisme international qui cible avec succès les sommets de l'Etat, mais contribue à forger sa légende noire. (Télérama du 8 au 14 avril 2017)

 

A lire:

Histoire mondiale de l'anarchie de Gaetano Manfredonia

sur une idée de Tancrède Ramonet

 

Première histoire mondiale de l'anarchie, superbement illustrée.

De la Russie au Japon en passant par l'Espagne, les Etats-Unis, la France, l'Argentine, Israël ou l'Egypte... Gaetano Manfredonia présente une fresque de l'anarchie en une centaine de séquences, de 1789 à nos jours. Ces récits, documentés et vivants, mettent en scène les acteurs et les penseurs qui en ont construit les étapes historiques majeures, dans leur contexte social et politique.

La qualité et la variété de l'iconographie confèrent à ce panorama son caractère saisissant : photographies issues de fonds d'archives internationaux, fac-similés, correspondances, tracts, chansons, estampes, caricatures, journaux et livres sont rassemblés ici pour la première fois.

Gaetano Manfredonia démontre comment l'anarchisme a contribué à faire évoluer la société, entre autres les conditions de travail et le statut de la femme, mais il souligne aussi la pertinence du projet : en pourfendant une société absorbée par la logique marchande comme le dirigisme d'Etat, Gaetano Manfredonia revendique l'autonomie des individus et défend les valeurs d'entraide et de solidarité.

En vente à la librairie l'Autodidacte 5, rue Marulaz 25000 Besançon

Ni Dieu, ni maître, une histoire de l'anarchisme

Lundi 10 avril, à partir de 17h

fédération anarchiste25 #info

Lundi 10 avril, à partir de 17h, repas convivial entre réfugié·e·s et leurs soutiens, ami.e.s et militant.e.s de Besançon, à la Gare d'Eau

Lundi 10 avril, à partir de 17h

Demain à l'Autodidacte

fédération anarchiste25 #Bientôt à l'Autodidacte

Librairie l’Autodidacte

5, rue Marulaz 25000 Besançon

Tèl : 07 83 39 44 33

Demain à l'Autodidacte

Débat "L'Amour à trois"

fédération anarchiste25 #antifasciste
Débat "L'Amour à trois : Alain Soral, Eric Zemmour, Alain de Benoist" avec Nicolas Bonnani. Jeudi 13 Avril, 19h. Amphithéâtre Donzelot (32 rue Mégevand, 25000 Besançon). Entrée libre.

Dans ce court ouvrage (à peine 60 pages) dont le titre « L’amour à trois » sonne comme le titre d’une pièce de boulevard, Nicolas Bonanni nous offre une lecture critique de la pensée de ces intellectuels de l’autre droite qui ont fait de la « guerre culturelle » leur stratégie principale. « Soral, Zemmour, De Benoist s’aiment, se jalousent, s’engueulent, et se rabibochent comme dans toute histoire de couple. Enfin, là c’est un peu plus compliqué, ils sont trois : ce n’est pas un couple, mais un trouple . Vous imaginez les embroui...lles ! Ils se répondent, s’influencent, s’interviewent, se citent, se chroniquent mutuellement. […] chacun à son caractère. Mais malgré leurs quelques points de désaccords ils se rejoignent sur l’essentiel. » L’essentiel ?… Leurs thèses anti-universalistes, alter-capitalistes, racistes, inégalitaires, sexistes et misogynes qui irriguent aujourd’hui toute la société, et en premier lieu le Front National.

Plus d'infos sur https://cabesancon.wordpress.com/2017/03/31/debat-le-13-avril-lamour-a-trois-alain-soral-eric-zemmour-alain-de-benoist-avec-nicolas-bonanni/
 
Organisés par Solidaires étudiant-e-s avec les soutien du CAB Collectif Antifasciste de Besançon
Débat "L'Amour à trois"

vendredi 7 avril 2017 à l'Autodidacte

fédération anarchiste25 #Bientôt à l'Autodidacte

Librairie l’Autodidacte

5, rue Marulaz 25000 Besançon

Tèl : 07 83 39 44 33

vendredi 7 avril 2017 à l'Autodidacte

Le Monde Libertaire n° 1787

fédération anarchiste25 #le monde libertaire
                                                                Le Monde Libertaire n° 1787

En vente dans toutes les bonnes librairies et donc à

La librairie associative l’Autodidacte

5, rue Marulaz 25000 Besançon

Vente à la criée le dimanche matin sur le petit marché de Battant

Le Monde Libertaire n° 1787

mercredi 5 avril à la fac de lettres

fédération anarchiste25
Un camarade interviendra mercredi 5 avril à la fac de lettres pour parler des origines de l'anarcho-syndicalisme espagnol. Ce sera de 15 à 17h dans la salle N-205 des locaux de l'Arsenal (ancienne fac de médecine, place St Jacques), dans le cadre du cours d'histoire des étudiant-es en deuxième année de licence d'espagnol.
La salle compte 60 places et cette intervention est ouverte au public. Rassurez-vous ça sera en français.
A travers le syndicat CNT l'anarchisme était dans les années 1930 la principale force militante organisée en Espagne, et cette donnée est fondamentale pour comprendre la société espagnole contemporaine. Nulle part ailleurs les libertaires n'ont été aussi nombreux/ses (et tous/tes uni-es dans la même organisation !), et aucune révolution n'a été aussi loin que celle de 1936 sur le chemin de la liberté.
En témoignent les collectivisations de l'agriculture, de l'industrie et des services publics de régions entières, ou encore la création en quelques jours de milices ouvrières autonomes pour tenir tête au coup d'Etat fasciste.
Mais ces réalisations n'ont été permises que par une préparation militante, culturelle, économique, pendant plusieurs décennies.
L'idée est donc de remonter aux origines du mouvement ouvrier, au 19e siècle, et d'observer son évolution jusqu'à la première guerre mondiale, pour comprendre pourquoi les militant-es espagnol-es ont majoritairement choisi l'anarcho-syndicalisme.
mercredi 5 avril à la fac de lettres
mercredi 5 avril à la fac de lettres

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